Anouk vit à Montréal.Elle décide de quitter la ville pour s’installer dans une cabane à Kamourazka-là où naissent les belugas .On ne connaîtra pas ses motivations si ce n’est qu’elle veut fuit un quotidien banal et gris.Au fond de sa cabane elle rencontre le froid et la solitude.Mais elle veille à continuer à lire et à écrire.La vie est très rude dans cette cabane.Des bêtes sauvages rôdent autour de la maison . La peur l’envahit parfois. La description de la nature et de la vie « sauvage » constitue des grands moments littéraires.Survient un homme Rio.Elle l’accueille dans sa cabane.Ils s’aiment.Anouk apprend que Rio est recherché par la police pour des actes violents contre une voie ferrée.Elle quitte sa cabane et accompagne Rio vers les Etats-Unis.L’auteure mêle habilement et avec style sa « propre découverte intime , sa vie de femme et les préoccupations écologiques . La survie de communautés qui habitent ces terres constitue un thème de ce livre.
Un roman passionnant plus complexe et donc plus intime et universel.
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