L’association de la 25ème Heure du Livre a encore été présente cette année sur le salon du livre du vendredi 3 octobre au dimanche 5 octobre.

Le prix 2025 du roman Coup de Coeur de la 25e Heure du Livre a été attribué au deuxième roman de Benoit d’HALLIUN « Un cri dans l’océan » publié aux éditions XO.
Lors de sa venue au Mans pour recevoir son prix, Benoit d’HALLUIN a accepté avec enthousiasme de rencontrer les élèves de deux lycées de la métropole.
Durant une matinée , 3 classes de secondes du lycée Bellevue du Mans ont été passionnées par l’auteur qui a répondu, sans fard, aux nombreuses questions des élèves autour du métier d’écrivain, de l’édition et bien sûr du thème principal du roman traitant de l’esclavagisme généré par la surpêche et de l’avenir des océans.
L’après-midi, face à une classe de seconde du lycée Malraux d’Allonnes, et durant deux heures, les mêmes thèmes ont été abordés mais de façon plus élargie. Quelques digressions passionnantes autour des réseaux sociaux, coeur de l’autre métier de Benoit d’HALLUIN (directeur de marketing d’une grande marque internationale de cosmétiques), ont rendu la rencontre encore plus intense.
Cette journée a certainement marqué les esprits, autant celui de l’auteur, ravi de cette expérience nouvelle pour lui, que ceux des élèves, revenus nombreux durant le week-end poursuivre les échanges durant le salon Faites Lire.


Le samedi 4 octobre, un spectacle jeunesse était proposé aux plus ou moins jeunes . La Compagnie Tétrofort nous a permis de découvrir la vie de Raoul le chevalier. L’impasse Jankowski fut comble lors de ces deux représentations appréciées de tous .

Pour la première fois, un espace dédié à la poésie a été créé salle Scarron ( à l’hôtel de ville du Mans).
Durant tout l’après-midi, une vingtaine de poètes et poètesses de plusieurs associations sarthoises (Club de rencontre de la médiathèque de La Flèche, Club des poètes de la 25ème Heure, l’association Donner à Voir DAV, La Plume de Léonie, La Cabane à poèmes) ont déclamé des textes dont la majorité était des créations des invités. La création poétique était au cœur de ce « coin » poésie. Des poèmes ont pu être découvert aussi grâce à la FRAMA qui a diffusé ceux-ci sur ses ondes tout au long du salon. A l’issue de ces lectures, la remise du premier concours poésie , dont le thème était « Femme(s) » a été remis à Manon MATHIEU pour son texte « Et pourtant elle demeure ». Ce fut une première appréciée et à renouveler.



Manon MATHIEU partageant son œuvre avec le public attentif.
Le dimanche 5 octobre, la remise des deux prix de l’association (Prix Coup de Cœur et Prix Imaginaire Christine-Rabin) a eu lieu au Café Littéraire à 11 h 15. Lors de ces tables rondes menées par Anne-Marie POULTIER et Denis PIEL, nous avons pu découvrir les deux œuvres primées ainsi que leurs auteur et autrice. Une belle découverte que ces deux romans de Benoit d’HALLIUN (Un cri dans l’océan aux Editions XO) et de Anouck FAURE (Aatea aux Editions Argyll). Cette rencontre fut suivie par un temps de dédicace et un cocktail convivial.



Tous les lauréats de cette année avec le président de l’association Yves LACAZE, les responsables des deux commissions (Prix Coup de cœur : Anne-Marie POULTIER et Prix Imaginaire Christine Rabin : Denis PIEL).
Lauréat du Prix Coup de Cœur : Benoit d’HALLIUN avec Un cri dans l’océan aux Editions XO.
Lauréate du Prix Imaginaire Christine Rabin : Anouck FAURE avec Aatea aux Editions Argyll.
Lauréate du concours poésie : Manon MATHIEU.
Lors de ces deux journées, trois ateliers d’écriture furent proposés de 14 h 30 à 16 h 30:
Le samedi après-midi Alice SIBBILLE et Franck JURE proposèrent la création de courts textes et poèmes.
Le dimanche , ce fut Céline BOURGOUIN qui nous permis de créer à partir d’illustrations diverses.
Ces moments d’écriture et de créativité furent appréciés de tous. Ils permirent de nouvelles découvertes et des échanges variés et surprenants parfois. Les participants sont d’ailleurs prêts à reconduire l’expérience.


Ce salon fut donc fort chargé de rencontres diverses et variées. N’hésitez pas, l’an prochain, à nous y rejoindre.
