Il était jeune et beau, sa rose rouge à la main
Le coeur battant il poursuivait son chemin
Vers cette belle dissimulée dans un recoin.
Deux diamants brillaient dans le lointain,
Les yeux de la belle, posée sur un lit de foin,
Son amour et sa foi n’étaient pas vains,
Lui offrant cette rose dans un esprit coquin.
Un premier baiser au creux de ses seins,
Une moiteur naissante sur ses mains,
Une douce caresse au creux de ses reins.
La belle offrait un sourire divin en disant, viens
Au jeune homme à l’appétit d’une grande faim
Pour des plaisirs qui ne pouvaient attendre demain.
Il s’appelait VALENTIN